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Virbac et Paprec : deux co-partenaires qui s'engagent


Au-delà du partenariat avec Jean-Pierre, Virbac et Paprec partagent un autre point commun : un engagement original dans leur domaine d'activité, témoin de leur volonté de n'envisager le développement que sous l'angle de l'intérêt public et à l'écoute du contexte de leur secteur d'activité. Ces deux co-partenaires mènent, chacun de leur côté, des actions qui trouvent leur origine dans une pratique éthique de leur cœur de métier. L'opération « Waste Free Oceans » (des océans sans déchets) qu'initie le groupe Paprec en partenariat avec les fabricants de matière plastique, la campagne de sensibilisation du public « Je l'aime, je le vaccine » qu'orchestre la Fondation d'Entreprise Virbac en faveur de l'intégration des animaux en milieu urbain comptent parmi c! es initiatives portées par l'envie d'agir. Développement durable pour les uns, santé publique pour les autres, le Groupe Paprec et les laboratoires Virbac défendent à leur manière des valeurs qui leur sont chères : l'esprit d'entreprendre, le goût des enjeux, l'envie d'agir, l'intérêt collectif, le respect des autres.



« Waste Free Oceans »
Il s'agit d'un projet à l'échelle européenne qui prend sa source dans le constat qu'une bonne partie des déchets plastiques polluant les mers et les océans peut être « repêchée » pour être recyclée. En partenariat avec l'EUPC, le syndicat européen des fabricants de matière plastique, le groupe Paprec, porté par une volonté d'action pour la défense de l'écosystème marin, est passé à l'initiative. Il a rejoint la Fondation « Waste Free Oceans » et participé au lancement d'une opération de collecte des déchets. Menée par des pêcheurs équipés de filets spéciaux, cette campagne de chasse à la pollution vise des zones préalablement identifiées comme des nœuds de courants marins : les côtes sud-ouest de l! 9;Atlantique, l'estuaire de la Seine… De retour au port, débarqués des bateaux, ces déchets peuvent alors suivre un itinéraire de recyclage, bien connu de Paprec, pour être valorisés énergiquement, transformés en énergie combustible de substitution. Le challenge est de taille puisqu'on évalue à quelque 13 000 km2 la surface représentée par les matériaux plastiques flottant à la surface des océans. Le projet débute, son lancement remonte au 20 mai dernier à Saint Jean Cap-Ferrat. Il vise une réduction de 40% des déchets flottants en 2020.

Etienne de Beauval, chargé de mission au sein du Groupe Paprec : « La culture du Groupe fait qu'il se sent très proche de l'environnement marin. Les océans font partie de sa philosophie, ils méritent qu'on cherche des solutions, qu'on essaye des alternatives, qu'on teste des projets. L'objectif est de soutenir les pêcheurs pour qu'ils aillent chercher les déchets. Il s'agit de les accompagner dans une diversification noble en faveur de l'environnement, de s'appuyer sur leur force de frappe et leur connaissance de milieu marin. S'il n'est pas question d'éradiquer le problème de la pollution des océans d'un seul coup, cette initiative suscite néanmoins beaucoup d'enthousiasme et fédère de nombreux partenaires. Le Groupe est fier d'y prendre part, et de compter parmi les pionniers de la collecte des d&eacu! te;chets en milieu marin.»

« Je l'aime, je le vaccine »
Il s'agit d'une campagne de communication grand public, qui, depuis 24 ans, vise à encourager la vaccination des animaux. La campagne, visible dans les cabinets de vétérinaires, ou sur la voie publique de municipalités partenaires, met en scène des animaux vedettes du dessin animé ou de la bande dessinée. Ces figures, bien connues de tous, dotées d'une vraie cote de sympathie, constituent des ambassadeurs de choix pour encourager la vaccination, ce geste simple mais néanmoins essentiel pour la prévention des maladies infectieuses du chien et du chat. Depuis la fin des années 80, Milou, Droopy, Garfield, suivis aujourd'hui par Sylvestre et Scooby Doo, se succèdent sur les supports édités par la Fondation Virbac, dont Jean-Pierre est président. Leur mission : porter sur des affiches abribus, sur les pages des magazines, ou encore auprès des pro! fessionnels de la santé animale, ce message simple et fort : « Je l'aime, je le vaccine ».

Damien Grosmaire, chef de groupe médecine générale animaux de compagnie (Virbac-France) : « Cette campagne de communication revêt une forte dimension institutionnelle puisqu'elle vise des municipalités, sollicitées pour jouer un rôle d'intermédiaire, en diffusant cette campagne programmée annuellement. Elle s'adresse aussi aux vétérinaires, interlocuteurs privilégiés des propriétaires d'animaux. Cette opération a pour objectif de sensibiliser le public, de l'encourager à se sentir responsable de la santé de ses compagnons. Cette campagne, et les partenariats qui l'animent, répondent au souci des Laboratoires Virbac de participer au développement éthique du marché vétérinaire par la création d'outils de prévention. Tout comme l'engagement dans la ! voile, elle tient une place à part et compte beaucoup dans la culture de l'entreprise. »



Tags : Jean Pierre Dick

Anne-Charlotte Meyer - 29 Octobre 2011

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